Le pilote de la motocross qui a blessé grièvement un policier lors d'un refus d'obtempérer le 30 janvier à Elbeuf (Seine-Maritime) a été interpellé quatre jours après las faits et placé en garde à vue. Le mis en cause a été placé en détention provisoire dans l'attente de son jugement.
Le pilote de la motocross qui avait percuté et grièvement blessé un policier lors d’un refus d’obtempérer à Elbeuf (Seine-Maritime) a été placé en détention provisoire, hier.
Les faits se sont déroulés le jeudi 30 janvier en début d’après-midi, dans le quartier du Puchot. Lors d’une opération menée par le groupe de sécurité de proximité (GSP), les forces de l’ordre ont tenté d’interpeller un homme circulant sur une motocross sans casque. Refusant de s’arrêter, le conducteur a délibérément foncé sur un policier qui tentait de l’empêcher de fuir.
Le fonctionnaire, souffrant d’une fracture, a été hospitalisé en urgence absolue au CHU de Rouen. Son pronostic vital n’est toutefois pas engagé.
L’auteur des faits a quant à lui abandonné son deux-roues sur place et a pris la fuite à pied.
Les faits se sont déroulés le jeudi 30 janvier en début d’après-midi, dans le quartier du Puchot. Lors d’une opération menée par le groupe de sécurité de proximité (GSP), les forces de l’ordre ont tenté d’interpeller un homme circulant sur une motocross sans casque. Refusant de s’arrêter, le conducteur a délibérément foncé sur un policier qui tentait de l’empêcher de fuir.
Le fonctionnaire, souffrant d’une fracture, a été hospitalisé en urgence absolue au CHU de Rouen. Son pronostic vital n’est toutefois pas engagé.
L’auteur des faits a quant à lui abandonné son deux-roues sur place et a pris la fuite à pied.
Un supect placé en détention provisoire
Activement recherché, le fuyard a été interpellé et placé en garde à vue lundi 3 février, quatre jours après les faits.. Il a été déféré hier, mercredi, au parquet, puis placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention (JLD), a indiqué Sébastien Gallois, procureur de la République.
Le mis en cause sera jugé en comparution à délai différé le 17 février 2025 à 13h30 pour violences volontaires aggravées sur personne dépositaire de l’autorité publique, a précisé le magistrat dans un communiqué publié ce jeudi matin.
Le mis en cause sera jugé en comparution à délai différé le 17 février 2025 à 13h30 pour violences volontaires aggravées sur personne dépositaire de l’autorité publique, a précisé le magistrat dans un communiqué publié ce jeudi matin.