Yvelines. Contrôlé à 161 km/h, le conducteur, ivre, avoue avoir été « grisé par la vitesse »
05 février 2024
Outre le retrait de son permis de conduire pendant six mois, un automobiliste de 34 ans devra s'acquitter d'une amende de 700 €. Alcoolisé, il a été contrôlé en grand excès de vitesse sur la RN10 aux Essarts-le-Roi
Un habitant de Gazeran, dans les Yvelines, s'est retrouvé en garde à vue au commissariat de Rambouillet, après un contrôle de vitesse mis en place sur la RN 10 aux Essarts-le-Roi.
Cette nuit-là - jeudi 1ᵉʳ février, vers 1 heures du matin - les fonctionnaires de la brigade de nuit se positionnent avec leur radar sur le bas-côté de la nationale à un endroit où la vitesse est limitée à 70 km/h. C'est alors qu'ils voient surgir un « bolide », qui est contrôlé à 161 km/h. Le chauffard est intercepté un peu plus loin.
Grisé par la vitesse
Le conducteur est soumis à une batterie de vérifications. Il s'avère tout d'abord qu'il est positif à l’éthylotest. Il souffle ensuite dans l’éthylomètre qui affiche un taux de 0,50 mg par litre d'air expiré, soit 1 g dans le sang.
Le contrevenant, âgé de 34 ans, est placé en garde à vue. Lors de son audition, il reconnaîtra avoir bu plusieurs bières sur Paris avant de reprendre son véhicule pour rentrer chez lui à Gazeran. « Il expliquera avoir été grisé par sa vitesse excessive », relate une source policière. Un comportement qu'il regrettera devant les enquêteurs.
Le trentenaire, inconnu au TAJ (traitement des antécédents judiciaires)) a finalement fait l’objet d’une composition pénale sur la base d’une amende de 700 euros et six mois de suspension de permis de conduire.
Le contrevenant, âgé de 34 ans, est placé en garde à vue. Lors de son audition, il reconnaîtra avoir bu plusieurs bières sur Paris avant de reprendre son véhicule pour rentrer chez lui à Gazeran. « Il expliquera avoir été grisé par sa vitesse excessive », relate une source policière. Un comportement qu'il regrettera devant les enquêteurs.
Le trentenaire, inconnu au TAJ (traitement des antécédents judiciaires)) a finalement fait l’objet d’une composition pénale sur la base d’une amende de 700 euros et six mois de suspension de permis de conduire.